Les agneaux peuvent être vaccinés à partir de l'âge de 2,5 mois et doivent être répétés 3 semaines après la première vaccination. Dès lors, ils n'ont besoin que d'une rappel chaque année.

La bactérie commence à se multiplier et produit des toxines lors de changements soudains d'alimentation. La plupart des décès se produisent chez les animaux âgés de trois à dix semaines. Même parmi les animaux bien nourris, âgés d'un demi à un an, il y a régulièrement des victimes. La maladie est stimulée lorsque les moutons mangent des aliments avec un ratio glucides/protéines élevé et une structure réduite. Boire trop de lait ou une transition trop rapide vers des prairies avec de l'herbe jeune et riche en protéines peut avoir le même résultat.

Une fois qu'un mouton est malade, le traitement arrive généralement trop tard. C'est pourquoi il est important de protéger les animaux contre ce virus. Les brebis pleines devraient recevoir leur vaccin de rappel 1 à 2 semaines avant l’agnelage. Les agneaux d'animaux non vaccinés peuvent être vaccinés à partir de l'âge de 2 semaines et reçoivent un rappel 4 semaines après la première vaccination. Les agneaux des brebis vaccinées doivent être vaccinés pour la première fois qu’à partir de l'âge de 8 semaines.

En raison de l'inflammation, les moutons commencent à boiter, une image classique que l'on voit alors est que les animaux commencent à brouter sur leurs genoux.

Les moutons doivent recevoir des antibiotiques à action prolongée. Les morceaux de corne coupés doivent être détruits car ils contiennent généralement de nombreuses bactéries. Pour la prévention il est très important de couper les pieds de façon régulière et les animaux affectés doivent être traités. Un environnement sec est également nécessaire pour obtenir des ongles bien solides. Les animaux nouvellement achetés tels que des béliers doivent être séparés pendant 2 semaines, il faut les couper les ongles, les mettre dans un bain de pieds et les injecter avec des antibiotiques. Seulement quand il est certain qu'ils sont sains, ils peuvent rejoindre le troupeau.

Si vous voulez protéger vos animaux contre le piétin, ils doivent être vaccinés deux fois avec un intervalle de 4 à 6 semaines. Le vaccin est très efficace, mais il peut y avoir de graves réactions telles que des abcès.

Il est également possible de sélectionner la sensibilité au piétin. Notez chez quel mouton le piétin est persistent ou ne cesse de revenir. Dans les cas récurrents, l’élimination peut être nécessaire en rapport avec une possible hypersensibilité héréditaire.

La pasteurellose se caractérise principalement par l'apparition de pneumonies aiguës ou la mort subite d'un agneau. De plus, le germe peut également affecter la plèvre, le péricarde et la mamelle et, dans des cas exceptionnels, la membrane cérébrale, les articulations ou même les intestins par une intoxication sanguine. Les agneaux en croissance sont les plus touchés, mais les moutons adultes peuvent également souffrir de pneumonies graves.

Le traitement arrive souvent trop tard, mais si cela est encore possible, des antibiotiques sont administrés. En tant que mesures préventives, il est très important d’adapter le climat d’étable et de s’abriter des changements de température importants. Aux Pays-Bas, il existe un vaccin combiné qui protège également contre Clostridium.

Comme la condition est douloureuse, il est possible que les agneaux ne veuillent plus boire ou que les brebis ne laissent plus boire les agneaux. La mortalité peut donc se produire chez les agneaux. C'est aussi une maladie très contagieuse qui peut se propager rapidement dans une population.

En France il existe un vaccin, mais comme il s’agit d’un vaccin vivant, il ne doit être utilisé que dans les exploitations où il existe des problèmes. Il est également recommandé de garder les moutons vaccinés à l'écart de l'étable où se déroule la paralysie ou lorsque des animaux sensibles sont présents.

La lutte doit reposer sur une amélioration des mesures d'hygiène et de dépistage sérologique, ainsi que sur l'élimination des animaux infectés. Aux Pays-Bas, cependant, un vaccin mort est disponible, ce qui entraîne une diminution progressive du nombre d'animaux infectés.